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Qui suis-je ?

« Décoller les étiquettes et proposer des solutions adaptées et différenciées pour chacun »
Patrick GROS - coach mentor HP
Patrick Gros

  • Mentor HP

  • Coach

  • Formateur

  • Parcours dans l’administration

  • Membre de MENSA

  • Juriste

Patrick Gros:  Je suis coach et formateur spécialisé en HP depuis 2017. j‘ai découvert que j’étais HP aux alentours de mes 40 ans. Ce fut tout d’abord une révélation, voire un soulagement: il y avait finalement une réponse à la question que je me posais de puis ma plus tendre enfance :”mais qu’est-ce qui cloche chez moi?”.

Lorsque j’avais découvert la PNL, les neurosciences, le coaching, je trouvais toutes ces techniques super mais… pas sur moi, sans vraiment savoir pourquoi. Alors, en apprenant que j’étais “H-P”, même si je ne savais pas encore vraiment ce que cela voulait dire, mon premier réflexe a été de me dire que si je l’avais su avant, ma vie aurait été plus simple.

Mais soyons honnête, je n’en sais rien et je ne pourrais jamais le savoir. C’est la raison pour laquelle j’ai alors dédié ma vie à l’accompagnement en développement personnel avec une attention particulière, chez mes clients, aux signes du décalage que j’avais vécu toute ma vie. Il existe beaucoup de publications sur le sujet du HP qui le décrivent comme un ensemble de caractéristiques, souvent négatives: trop sensible, trop dispersé, trop insolent, trop rapide ou même trop lent… trop, trop, trop! Mais dans aucun livre, aucune formation ou autres conférences, je n’ai trouvé de vraies réponses à mes premières questions :” Est-ce qu’un HP est vraiment “plus intelligent” que les “autres”? En quoi être soi-disant “intelligent » n’est pas gage de réussite ou d’épanouissement? En quoi “être intelligent” serait une condamnation à être “trop” quoi que ce soit?

J’ai beaucoup appris sur les HP au cours de mes échanges avec d’autres HP que ce soit dans ma famille, mes amis ou mes clients. Fort de cette expérience, j’ai tenté de décrire le fonctionnement cognitif du HP au travers d’un modèle basé sur les neurosciences, et plus particulièrement sur les notions de modes mentaux. Ce modèle de l’Hyper-Préfrontalité pose que l’intelligence adaptative dont tout Homme dispose pour les situations complexes ou inconnues est, chez le “HP”, toujours en partie active et ce, en même temps que l’autre mode mental: Automatique. Ce mode mental hybride, mêlant Préfrontal et automatique, que j’ai appelé Hyper-Préfrontalité, influence tout le fonctionnement de l’individu d’une manière que le HP lui-même ne comprend pas toujours. Cette incompréhension entraine une mauvaise lecture de soi et amplifie le sentiment de décalage souvent ressenti. La compréhension est la première étape du changement, l’objectif du modèle de l’Hyper-préfrontalité n’est pas de créer une nouvelle « vérité scientifique », une nouvelle étiquette mais bien de comprendre pour agir.

Je ne pense pas que “être HP” soit une sorte de maladie qui condamnerait un être humain à quoi que ce soit. Je pense, au contraire, qu’en mettant des mots sur son mode de fonctionnement, tout être humain (re)gagne en “enpouvoirment”. Avant de dire qu’une machine est cassée, mieux vaut lire le mode d’emploi